Challenge Spatial Européen avec Thomas Pesquet

Pendant le premier trimestre, les CM2 de la salle 11 ont participé au challenge proposé par l’ESA (European Space Agency) et le CNES (Centre National des Etudes Spatiales) et lancé par l’astronaute actuellement à 400 km au-dessus de nous, dans l’ISS : Thomas Pesquet.

La première partie du défi consistait en la création d’un protocole d’expérimentation complet qui prenait en compte les différences entre les conditions sur Terre, les conditions dans l’ISS et les conditions dans le vide de l’espace.

L’idée proposée par les élèves a été de vérifier l’hypothèse suivante : s’il n’y a pas d’air et pas de gravité, alors une roue lancée (comme celle d’un vélo), ne s’arrêtera jamais dans le vide, s’arrêtera au bout de très peu de temps sur Terre et mettra plus de temps à s’arrêter dans l’espace.

Pour cela, nous devions imaginer utiliser un ordinateur qui permettrait de compter le nombre de tours.

Grâce à ce travail, nous avons réussi à passer en Phase 2.

Pour celle-ci, nous avons reçu un ordinateur à monter, directement de l’ESA, bourré de capteurs. Il faut savoir que le même ordinateur est à disposition des astronautes dans l’ISS, il s’appelle l’Astro-PI.

  Thomas Pesquet et le CNES nous ont ensuite envoyé un courrier pour nous préciser notre mission : Nous devons programmer cet ordinateur pour qu’il soit capable de savoir, et de nous dire, lorsqu’il y a quelqu’un dans la pièce où il est installé.

Ce challenge est à rendre dans peu de temps, on travaille d’arrache pied !

Les vainqueurs gagneront la possibilité de faire tester leur programme en direct de l’ISS par Thomas Pesquet.

Si c’est pas formidable ça ?!!!

Sortie à Electropolis

Vendredi 3 février, les CM des salles 1 et 11 sont allés à Mulhouse pour visiter le Musée EDF – Electropolis.

Nous avons pu découvrir l’histoire de l’électricité et l’évolution des appareils électroniques.

Les animateurs nous ont parlé des scientifiques qui ont étudié ces phénomènes (Volta, Edison ,Thalès, Ampère…).

Il y avait une gigantesque machine qui était un générateur électrique.

Avec notre guide, nous avons réalisé des expériences : Waël, Zeliha et Walid ont été enfermés dans une cage avec des milliers de volts autour d’eux. C’était sans danger. Cela s’appelle une cage de Faraday.

Autre expérience du théâtre de l’électrostatique : Léane a dû monter sur un tabouret en bois. Elle a tenu une boule en fer à travers laquelle le courant pouvait passer. Lorsque l’animatrice a branché la boule : les cheveux de Léane ont commencé à se dresser.

L’après-midi,  nous avons relevé des défis : par exemple, il fallait faire fonctionner des machines en reformant les circuits, construire une pile ou encore allumer des lumières en pédalant sur un vélo.